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Développement spirituel

Publié . par isala les étoiles

La spiritualité est une fonction naturelle, un état de connexion avec Soi. Mais comme cette fonction est délaissée, elle nécessite d’être retrouvée et développée. Le développement spirituel n’est pas autre chose qu’un développement personnel dont le but est la reconnexion avec notre Essence. Nous portons un nouveau regard sur qui nous sommes, sur ce qu’est la vie, et nous le dirigeons sur la perception de notre Essence. Nous remettons notre personnalité à sa juste place et à sa juste fonction au service de l’Essence.

Pour cela, nous portons attention à nos sensations, nos émotions et nos pensées. Nous favorisons les positives (plus exactement celles qui nous élèvent) et transformons les négatives (plus exactement celles qui nous alourdissent, car rien n’est négatif), autrement dit nous apprenons à en devenir maitres. Nous identifions nos deux voix, celle de l’égo et celle de l’Essence. L’égo, tant qu’il n’est pas apaisé, tente d’accaparer le pouvoir et de nous couper de notre Soi, de nous diviser. C’est cette notion qui a été faussement représentée par le diable (dia-bolo, di-viser). La voix de l’Essence nous conduit vers l’unification de notre être. Ces deux voix sont comme deux enfants en nous, l’un intempestif et fantasque, l’autre sage, discret et patient, qui désirent qu’on les entende et qu’on s’occupe d’eux. Dans le développement spirituel, nous choisissons de porter attention à l’Essence tout en rassurant et intégrant la personnalité. C’est une rééducation qui demande de mettre en œuvre certaines qualités et d’adopter certaines attitudes. Voici quelques indications.

Sincérité et simplicité

Porter attention à nos sensations et nos sentiments, c’est dresser une description objective de nous-mêmes. Lorsqu’un entrepreneur veut bâtir une maison sur un terrain inégal, occupé d’arbres et de rochers, il fait d’abord l’état des lieux pour savoir quelles sont les données avec lesquelles il doit compter, ce qu’il doit éliminer et ce qu’il va renforcer. De même si nous voulons nous bâtir, il est nécessaire d’avoir une perception claire et nette de notre état des lieux intérieur. Cela demande un regard honnête et sans complaisance.

Mais contrairement à l’entrepreneur, nous devons faire cet état des lieux régulièrement, car il change en permanence, et les plans de nos constructions évoluent de façon vivante au fur et à mesure de notre progression. Être honnête avec soi, c’est aussi faire preuve de sincérité, d’humilité et de simplicité.

Le regard sur soi ne doit pas seulement rester dans notre pensée abstraite. Il doit aussi se manifester concrètement dans la façon de nous exprimer, d’agir, de nous comporter. Transparaissent alors les qualités d’authenticité et d’intégrité.

Détermination et patience

La mise en pratique de l’authenticité se heurte aux peurs évoquées plus haut (de perte, de l’inconnu, etc.) qui se manifestent sous forme de résistances, de jugements, d’appréhensions, d’inquiétudes et demandent à être dépassées. Une appréhension qui survient lorsque nous nous avançons sur ce chemin, est de nous sentir différents des autres et isolés. Nous sortons du moule social, celui des conventions et des règles morales qui semblent aller de soi et qu’il est incongru de remettre en cause. Justement, nous sommes dans la remise en cause et la révision de nos croyances. Alors que le moule social était notre sécurité, nous prenons maintenant la responsabilité de notre vie et nous assumons le chemin nouveau. Il nous semble alors – dans un premier temps – que nous avançons seul, sans soutien et sans protection et c’est très inconfortable.

Cela demande détermination, persévérance et courage. On peut dire aussi que cela demande de la volonté, mais ce terme est généralement mal compris. La volonté, ce n’est pas celle de la personnalité qui veut obtenir ou réussir à tout prix ce qu’elle a imaginé selon ses croyances et ses émotions. C’est être clair dans nos choix de vie et s’y tenir. C’est décider clairement de lâcher prise et de nous en remettre à notre Essence.

Cela demande également de la patience et de la confiance, car les changements se produisent selon l’intelligence du corps et de l’âme, au rythme de ce que nous avons à guérir et à intégrer, et non selon les désirs impatients de la personnalité.

Cesser d’accuser et de critiquer les autres

spiritualiteIl est des situations qui sont bien plus difficiles que d’autres pour porter attention à soi et à son Être intérieur, pour lesquelles notre personnalité s’impose. C’est par exemple quand nous nous sentons agressés ou spoliés par d’autres personnes et que nous sommes totalement accaparés par notre émotion. C’est une épreuve très intéressante, car elle nous permet d’aller plus loin dans notre évolution. Le travail consiste à percevoir ce qui est touché en nous et ce que cela révèle de nous. Nous découvrons généralement une vieille blessure, une peur de manquer d’amour, d’être rejeté, etc. Autrement dit, même si l’agression est réelle et doit être traitée concrètement (non en réaction, mais en construisant le meilleur pour nous-mêmes), il est encore bien plus intéressant de voir le message qu’elle nous invite à considérer. Il est une manifestation de l’être intérieur. Les situations auxquelles nous sommes confrontés sont le reflet de quelque chose de nous.

L’attitude spirituelle commence lorsque nous cessons d’accuser les autres de nos malheurs, car nous comprenons qu’ils sont le reflet de nos propres blessures. Elle commence lorsque nous cessons d’attendre des autres qu’ils satisfassent nos besoins d’amour et d’attention et que nous comprenons que nous pouvons être maitres de notre vie en lâchant prise et en nous connectant à notre être intérieur. Avec cette compréhension, nous sommes capables d’être compatissants et bienveillants, ce qui n’empêche pas d’exprimer son point de vue et de se faire respecter fermement. Par notre conscience élargie, nous sommes capables de développer l’amour, nous pouvons voir en les autres des êtres blessés et maladroits certes, mais aussi avec leur partie lumineuse et leur cœur.

On tente d’éviter de se laisser contrarier par quoi que ce soit, d’avoir du ressentiment, de rester dans la honte, la peur, ou le jugement. Cela permet de se maintenir à une fréquence élevée. Si cela arrive, pas de culpabilité, nous considérons que nous sommes en apprentissage. Nous pouvons nous aider d’un exercice spécifique (voir plus bas).

Conscience et responsabilité

En nous appliquant à développer ces qualités, nous augmentons et affinons la conscience de nous-mêmes. Devenir de plus en plus conscients de ce qui se passe en nous et autour de nous est une autre façon de nommer le développement spirituel. C’est prendre du recul, avoir une vue plus large et distinguer les véritables forces derrière les apparences des jeux de la vie. La conscience est la clé de notre évolution.

Souvent, nous sommes amenés à penser que nous sommes le jouet de forces extérieures incontrôlables et que nos souffrances et difficultés sont causées par un hasard malchanceux ou par les autres. Ils ne nous apportent pas l’attention que nous leur demandons, empiètent sur notre territoire, nous sommes victimes d’une catastrophe naturelle ou de la crise économique (voir article Catastrophes naturelles, les véritables causes). Une conscience accrue nous révèle avec évidence que nous sommes responsables de notre vie. Comprendre que nous sommes les acteurs de notre vie est un pas extrêmement important de notre évolution spirituelle. C’est peut-être le plus difficile à comprendre et à intégrer, car cette notion ne fait pas partie de notre culture et de notre éducation standard.

Les difficultés que nous vivons sont l’expression des aspects de nous non résolus qui demandent à être apaisés et guéris. Être responsables de notre vie consiste à nous demander ce que ces difficultés veulent nous faire comprendre. Quel message notre Essence cherche-t-elle à nous communiquer? (voir Ma vie, miroir de ma pensée). Notre régénération et notre transformation dépendent de nous. En expérimentant et comprenant cette loi de fonctionnement, nous devenons maitres de notre vie: nous ne sommes plus des victimes, mais des créateurs.

Se regarder avec tendresse

Devenir un observateur lucide sur soi-même et regarder en face nos qualités et nos zones ombrageuses ne signifie pas que nous devons comptabiliser nos défauts et imperfections et nous en sentir honteux ou coupables. Cette attitude ne ferait que contribuer à entretenir d’autres zones ombrageuses, la honte et la culpabilité par exemple. En connexion avec son être intérieur, l’observateur se comporte comme un parent attentif au développement de son enfant, mêlant bienveillance et rigueur. Nous nous observons avec le regard tendre d’une mère qui regarde son enfant faire ses premiers pas, trébucher, tomber, s’agripper, se relever, etc. Qu’est-ce qui suscite cette tendresse? C’est de voir en l’enfant sa progression, ses apprentissages, sa croissance, sa bonne volonté, sa patience, son courage.

Nous observer comme un enfant signifie le faire sans jugement, avec tendresse, mais sans complaisance. Y compris quand nous sommes en colère ou tristes. Verser sur soi la bienveillance et la compassion est une excellente pratique pour la guérison de notre âme et l’ouverture au Soi (voir article L’enfant intérieur – l’attitude bienveillante). Être capable de ressentir la compassion envers soi-même, c’est permettre le déploiement et l’équilibrage en profondeur de l’énergie dans les corps physique et subtils.

Rire de soi-même

Un regard tendre sur soi est le signe que nous pouvons nous voir avec du recul, comme on voit une autre personne. Alors, nous pouvons rire de nous-mêmes. Nous pouvons rire de tout, car nous détectons tous les jeux qui sous-tendent nos actions et nos attitudes: peurs, pouvoir, séduction, etc. Lorsque nous nous prenons au sérieux, c’est généralement une rigidification du mental qui veut nous faire croire que nous sommes quelqu’un. Dans ce cas, nous ne faisons pas preuve d’honnêteté ni de simplicité. Bien entendu (et je le répète pour ne pas risquer d’être incompris), ce rire s’accompagne d’un regard tendre et aimant sur soi-même et sur les autres. Il ne s’agit pas de moquerie. La moquerie rabaisse, l’humour élève.

Lorsque que le rire de quelqu’un à propos de nous nous blesse et que nous ne pouvons pas nous associer à ce rire, si nous nous sentons choqués, cela décèle une zone d’ombre qui reste en nous. C’est donc un signal très intéressant pour progresser. Notre faculté à rire nous indique où nous en sommes dans notre libération émotionnelle.

Dans cet exposé des qualités nécessaires à notre transformation, certains pourraient reconnaitre des règles morales, mais il ne s’agit pas de cela. La morale est un produit de la culture, une composante mentale de la personnalité liée à nos croyances sur le bien et le mal, à la notion de culpabilité et de honte. Le développement spirituel est fondé sur une reconnaissance de nos forces internes et de leur façon de fonctionner. C’est une reconnaissance quasi biologique et neurologique des forces et des sensations qui nous habitent. De fait, le développement spirituel se traduit dans notre corps par un changement de vitalité et d’énergie.

Source : science spirit

Les différentes capacités extra-sensorielles

Publié . par isala les étoiles

On mélange souvent intuitions et voyance, voyance et clairvoyance… Quelles sont les différences ? Cet article vous explique tout, et vous éclaire sur les différentes capacités extra-sensorielles. Bonne lecture !

Intuition et voyance

Les termes intuition et voyance, possèdent chacun un point commun, c’est avoir l’habileté à ressentir soit des sensations, des images, des voix, des situations, qui nous parviennent de façon très spontanée, parfois même, au moment où l’on s’y attendrait le moins.
L’intuition, s’identifierait comme étant l’obtention d’informations nous étant plus spécifiquement destinées, alors que la voyance s’en distinguerait par l’obtention d’informations pouvant également concerner d’autres personnes que soi-même.

La voyance, serait donc une capacité plus élevée que celle de la simple intuition. En revanche, en-dessous du niveau de l’intuition, se trouve celui très limité de l’instinct. Celui-ci, ne dépasse guère les réactions instinctives animales.

Mais qu’en est-il de la clairvoyance ? Permet-elle également de voir pour soi-même, ou est-ce qu’elle permet de voir pour d’autres personnes ?

Cette fois, les deux sont vrais, la clairvoyance permet de savoir autant pour soi que pour les autres. En fait, la clairvoyance est précisément l’utilisation de matériel  appelé support, permettant de clarifier une vision avec une plus grande précision.

Souvent, lorsqu’il s’agit d’intuition ou de voyance et non de clairvoyance, une information spontanée est reçue que l’on ressent comme une certitude inéluctable et pourtant, malgré ce fait, celle-ci se limite bien souvent uniquement à une simple impression de ce qui pourrait se produire. Un peu comme si on réalisait un saut dans le temps, en y captant une information qui normalement, sans appui tangible, ne serait pas sensée être connue de nous.

La clairvoyance quant à elle, permet de préciser cette impression initiale en lui fournissant davantage de détails, grâce à l’appui de supports usuels tels que: oracle, cartes ordinaires, cartes de tarot, lignes de la main, feuilles de thé, boule de cristal ou encore tâches d’encre etc. Ils en existent bien d’autres, mais ceux décrits ici sont les plus courants.

Trop souvent, une grande majorité de personnes n’utilise pas les bons termes à bon escient.
Ainsi, certaines personnes s’approprient le terme de voyants alors qu’elles utilisent des outils, rendant de ce fait, ce terme totalement erroné puisqu’on devrait alors parler de clairvoyance.

intuition

La clairsentience

La clairsentience est la capacité à ressentir les ondes et d’en dégager des informations au-delà du temps et de l’espace. La clairsentience est une forme de « scan » : le clairsentient est capable de savoir ce que ressente les autres mais il n’en souffre pas. Contrairement à l’empathie, les émotions des autres ne le parasitent pas. Il est capable de « voir » à qui il a affaire lorsqu’il rencontre quelqu’un mais l’autre ne ressent aucune intrusion.
Les clairsentients font souvent des rêves très éclairants, sont doués de prémonitions.

Consciemment les connaissances se manifestent par des sensations, des sentiments ou des idées qui surgissent plus fortement qu’une simple intuition car elles peuvent devenir obsédantes.
C’est un don plutôt agréable et facile à vivre, quand il y a peu de désagrément et quand les informations ne sont pas trop rapprochées car dans ce cas elles sont difficiles à gérer.

vision

Précognition

Précognition est un synonyme de pressentiment, de prémonition et désigne un type de perception extrasensorielle d’évènements futurs. La précognition se manifeste essentiellement pendant le sommeil, sous hypnose ou encore à l’état de transe. Qui n’a jamais fait un rêve, dit prémonitoire, dans lequel il y voyait des faits qui se sont produits quelques jours plus tard ?

Il existe deux types de précognition :

La précognition spontanée : Elle se manifeste en général dans les rêves et concerne particulièrement des faits d’intérêts généraux comme un tremblement de terre, une éruption volcanique, le crash d’un avion, etc… Il ne s’agit ici que de catastrophes et cela n’est pas un hasard. Tous ces évènements tragiques s’accompagnent d’une intense émotion susceptible de favoriser la précognition. La plupart des personnes sujettes à la précognition ne s’attardent que très peu sur leur prémonition et ce n’est que lorsque la catastrophe a eu lieu qu’ils réalisent enfin qu’ils l’avaient perçue.

La précognition provoquée : Plus connue sous le nom de voyance, la précognition dite provoquée se pratique en revanche à l’aide d’ustensiles: boules de cristal, miroirs, cartes, marc de café, etc… Contrairement à la précognition spontanée ou toutes les personnes y ont un jour été confrontées, la précognition provoquée s’avère plus particulièrement développé chez les personnes possédant un don spécifique ou du moins qu’elles ont développé. La précognition provoquée ne consiste pas à lire les cartes ou les instruments utilisés. Il s’agit pour le voyant de capter les sensations à l’intérieur de lui-même; les accessoires servent simplement à favoriser la concentration.

On ne pourrait parler sérieusement de précognition sans citer l’un des plus grands, le moine français Nostradamus, né en 1503 à Saint-Rémy en Provence. Il écrivit les célèbres Centuries, dont certains savants tentent encore aujourd’hui à percer le sens exact.

Exercice pour développer ses facultés de précognition :
Il existe un exercice très simple que l’on pourrait presque qualifier de jeu et consiste à essayer de visualiser un individu donné ou un évènement futur. Tenter de deviner comment sera habillée telle personne que vous allez rencontrer le lendemain. Comment va se présenter tel endroit où vous allez vous rendre, etc…

lire l'avenir

Rétrocognition

La rétrocognition est exactement l’inverse de la précognition et consiste donc à deviner des faits passés. Cette pratique se révèle très efficace surtout lorsque l’on souhaite retrouver les circonstances d’un fait déroulé à une époque lointaine. Les personnes sujettes à la précognition sont capables de retracer certains moments de la vie d’une personne simplement en la voyant ou en serrant un objet qui lui a appartenu. De nos jours, la rétrocognition est très utile pour rechercher des personnes disparues.

Exercice pour développer ses facultés de rétrocognition :
Prenez une montre ou tout autre objet ayant appartenu à une personne de votre entourage. Tenez le bien dans vos mains et manipulez-le un moment en vous décontractant, les yeux fermés, dans une pièce tranquille, à l’abri du bruit, du stress, etc…
Petit à petit vous éprouverez des sensations vagues, des souvenirs lointains. N’hésitez pas à les noter sur un papier.
Répétez l’opération pendant plusieurs jours. Vous allez voir le nombre de choses qui vont vous revenir en mémoire.
Lorsque vous vous sentirez plus expérimenté, tentez cette fois l’expérience avec un objet venant d’une connaissance dont vous ne savez pas grand chose.
Mettez-vous à l’épreuve dès que l’occasion se présente. Ne perdez pas courage si vos résultats ne sont pas satisfaisants. Beaucoup d’entre vous se révèleront être de grands sensitifs.

Source : Franceastro.

capacites extra-sensorielles

Plus courant encore, on entend le terme Instinct au lieu d’ Intution, et le terme « prendre la chance » de … alors qu’on devrait dire « prendre le risque  » de…

Portez-y attention ! Vous constaterez par vous-même, à quel point, presqu’à chaque fois, l’utilisation des termes est erronée. Par exemple, lorsqu’un animateur de télévision dit d’une personne qu’elle a pris la chance de… alors qu’en fait, il fait justement la description d’une situation à risque, d’où la chance est pratiquement absente. Il aurait donc du dire que cette personne a pris le risque de…

On utilise également par erreur le terme « instinct » à toutes les sauces, lorsqu’on devrait plutôt dire intuition. Les seuls situations où le terme « instinct » s’appliquerait réellement, sont lorsqu’on fait référence à une situation où l’individu utilise des moyens de survie, (de là, le terme instinct de survie, instinct de conservation). Le terme instinct, devrait logiquement, non pas être associé à l’humain, mais plutôt aux animaux, dans le sens, que ceux-ci agissent de façon instinctive, c’est à dire sans utiliser une réflexion, même intuitive.

Donc, la seule et rare exception s’appliquerait lorsqu’un individu tente en catastrophe de poser certains gestes, précisément dans le but de sauver sa peau. Il utilise alors certaines suggestions mentales impératives, impliquant de prendre des risques immédiats en tentant le tout pour le tout.

Cela se différencie totalement de l’intuition. L’intuition est spontanée certes mais moins impérative que ne l’est l’instinct lors d’une situation de survie. Ainsi, la nuance se situe au niveau de la capacité de réflexion « humaine » qui n’est évidemment pas exclue lorsqu’il s’agit d’intuition.

L’animal ne possède que l’instinct, alors que l’humain a le privilège de dépasser ce niveau par l’usage de son intuition.

J’aimerais tant que cette « conscientisation  » se réalise, afin d’éclairer également certains dictionnaires, ayant totalement fait abstraction de cette importante nuance.

Revenons donc à notre sujet principal, celui de la clairvoyance.

clairvoyance

Existe-t-il une différence entre un clairvoyant et un médium ?

Un médium peut occasionnellement par paresse, utiliser des outils afin de préciser ses pressentiments, mais n’est pas sensé en avoir besoin. Il se différencie du clairvoyant par sa capacité à entrer en contact avec des esprits, attribut que ne possède pas nécessairement le clairvoyant.

Ainsi, le médium possède une capacité d’un niveau supérieur à celui d’un clairvoyant. Les niveaux seraient donc, dans l’ordre ascendant les suivants :

1e niveau = INSTINC (animal ou de survie extrême, action sans réflexion préalable)

2e niveau = INTUITION (attribut de l’âme, pressentiment, murmure de l’ange gardien)

3e niveau = VOYANCE (information intuitive servant aux autres et à soi-même)

4e niveau = CLAIRVOYANCE (capacité d’utiliser certains supports clarifiants la voyance)

5e niveau = MÉDIUMNITÉ (capable de contacter les esprits pouvant exclure les supports)

6e niveau = SPIRITES (médiums spécialisés dans le contact avec les défunts à partir des vibrations d’objets leur ayant appartenus (Psychométrie ou mesure de l’âme).

vision d'avenir

Quelle différence existe-t-il entre prédiction et prophétie ?

Une prédiction s’adresse habituellement à un individu et est issue d’une vision sans pour autant faire l’objet d’une déduction.

Une prophétie, s’adresse à l’évolution de tout un peuple et se trouve habituellement issue d’un ensemble particulier de visions possédant toutes une orientation similaire ou complémentaire. Il est également rare que sa réalisation se déroule à court terme. Donc, les événements annoncés visent souvent l’écoulement de plusieurs années, voire des générations.

Ainsi, à titre d’exemple, Nostradamus est bien l’un des prophètes (non biblique) les plus connus.

Nostradamus, médecin et astrologue né en Provence en 1509 puis, mort en 1566, possède une réputation mondiale. Il acquit tout d’abord une grande notoriété comme médecin dans le midi de la France de par son dévouement lors des nombreuses épidémies qui y sévissaient.

Il quitta cette vocation en raison de confrères jaloux de son prestige et se retira afin d’écrire les célèbres « Centuries » composées de quatrains hermétiques publiés en 1555.

Son inspiration selon certains écrits, s’obtenait par l’utilisation de l’effet de phosphène (fixation du regard sur la réflexion d’une lumière vive, projetée à la surface de l’eau). Des flashs s’y produisent sous l’effet de cet état second, donnant naissance à certaines visions particulièrement saisissantes, tant visuellement qu’émotionnellement.

Ces visions furent ainsi traduites par Nostradamus dans un langage volontairement hermétique afin de se protéger des foudres de l’inquisition.

Ces prophéties et non des prédictions (puisque celles-ci s’adressaient au sort de tout un peuple à travers les âges), jouissent encore aujourd’hui d’une énorme popularité.

intuitions

Peut-on modifier les évènements d’une prédiction ou d’une prophétie ?

Oui, il est tout à fait possible de modifier les événements d’une prédiction. En effet, celle-ci devrait toujours être considérée comme une sorte d’annonce parfois alarmante et parfois agréable permettant selon le cas, soit de conserver l’espoir qu’un souhait se réalise ou encore d’éviter des conséquences non désirées mais n’étant pas pour autant irréversibles.

Le simple fait d’en être averti peut permette de tenir compte du conseil et de ne point s’engager dans une voie qui porterait préjudice. Suivre ce conseil est connexe à l’utilisation de votre libre arbitre. Vous êtes toujours libre de tenir compte ou d’ignorer ce qui vous est annoncé.

Voici un exemple : on prédit à une personne qu’il va pleuvoir particulièrement abondamment alors que la météo annonce au contraire une absence totale de pluie. Elle serait ici libre d’apporter son parapluie ou d’ignorer les avertissements. Dans un tel cas, la conséquence serait relativement limitée au simple risque de se retrouver détrempée sur le chemin du retour.

Par contre, ce même avertissement pourrait s’avérer plus sérieux, si elle s’apprête à voyager en montagne sur une route bordée de précipices. Dans un tel cas, elle trouverait peut être plus sage de remettre ce déplacement à une période plus ensoleillée donc relativement plus sécuritaire.

Contrairement à la prédiction, il semblerait beaucoup plus difficile de faire changer l’annonce d’une prophétie destinée à tout un peuple puisque celle-ci est issue de multiples visions qui la corroborent.

Pour qu’une prophétie parvienne à être modifiée, il faudrait pour cela quel’ensemble des pensées des habitants de tout un peuple se modifie de façon suffisamment  importante pour que l’opinion générale change.

De plus, ce changement  d’attitude devrait être suffisamment intense pour faire basculer son empreinte sur le futur.

clairsentience

Comment s’opère une vision ?

Une personne, possédant cette capacité de voir pour une autre personne, parvient en quelque sorte à capter l’empreinte ou la projection des pensées de son client sur l’avenir que celui-ci se construit à partir de l’idée qu’il s’en fait.

Si ces pensées ne sont pas modifiées, elles vont inéluctablement créer et devenir des réalités concrétisées que le voyant ou médium parvient à voir avant qu’elles ne soient rendues à cette étape ultime.

Mais celles-ci peuvent encore être modifiées en cours de route, lorsque le voyant en informe son client le rendant ainsi conscient de la non pertinence d’entretenir des telles pensées troubles qui créeront des événements malchanceux non souhaités.

Ainsi, le client en choisissant de changer son point de vue, change son attitude face à son futur et permet de ce fait, aux événements de se transformer pour créer de nouvelles réalités.

ressentir

Comment peut-on découvrir si un voyant ou un clairvoyant est honnête ou s’il s’agit d’un charlatan ?

À mon avis, il s’agit là d’une démarche particulièrement délicate. Mais, personnellement, je me réfère à quatre principes de base assez fiables.

1. EST-IL INTÈGRE ? Si votre voyant impose ses visions comme étant des vérités irréfutables et affirme qu’il vous serait impossible de modifier cet avenir, alors, il y a un risque… (et non une forte chance) que de toute évidence cette abstraction du respect de votre libre arbitre, dénote d’un souci mercantile de vous rendre dépendant de sa personne.

2. POSSÈDE -T-IL UNE BONNE RÉPUTATION ? Si votre voyant ne bénéficie d’aucune renommée particulière lui étant favorable, et qu’il n’est pas davantage disposé à vous fournir des témoignages écrits d’anciens clients hautement satisfaits, alors, de toute évidence, il vous sera assez difficile de vous faire une idée juste de sa valeur..

3. ÊTES-VOUS UNE PERSONNE COMPRÉHENSIVE OU EXIGEANTE ? Si par contre, votre voyant remplit haut la main les deux premiers critères, étant intègre et de renommée crédible, il faudra parfois malgré tout, faire preuve d’un minimum d’indulgence en certaines circonstances. Voyez-vous, un voyant n’est pas une machine et ses bonnes prestances habituelles, peuvent en un autre temps, se trouver affectées par un vécu émotionnel lui étant propre. Les voyants, comme toutes personnes humaines, traversent des hauts et des bas et ce sera à vous, comme client(e)s, de laisser votre intuition vous guider, à savoir, si ce rendez-vous vous est propice à ce moment précis.

4. ETES-VOUS UNE PERSONNE OBJECTIVE ? N’allez pas voir un voyant pour lui faire dire exactement ce que vous voulez entendre. Il se peut que le message que vous receviez soit fort différent de ce que vous aspiriez à entendre. Il est important de conserver l’esprit ouvert. Parfois, on consulte en rapport à une préoccupation somme toute banale alors que le voyant ne s’y réfère même pas. Par contre, celui-ci peut nous prévenir sur un tout autre aspect que nous n’avions pas envisagé et qui finalement avec s’avèrera nous avoir été largement plus utile, avec du recul. Souvent, la rencontre confirmera votre propre intuition mais parfois au contraire, elle vous annoncera tout autre chose. Si vous n’êtes pas prêt à admettre cette éventualité, il serait préférable pour vous de ne point consulter.

Source : Norja.

Nos différents étages de conscience

Publié . par isala les étoiles

Nous sommes libres, entièrement libres d’agir comme bon nous semble, libres d’écouter notre égo, libres de nous imaginer plus puissants, plus malins, plus intelligents que tout ! Cependant, il ne faut pas oublier que tout est interconnecté, et que nous sommes tous responsables de toutes nos actions, donc de toutes nos pensées, si minimes soient-elles.

« Chaque pensée émise par un cerveau humain est un véritable boomerang, qui une fois lancée, revient vers nous multipliée, sous une forme ou sous une autre, à plus ou moins brève échéance. » Voici l’un des secrets de la vie auquel rien ni personne ne pourra jamais rien changer. Encore faut-il que nous acceptions d’en prendre conscience !

Nous allons voir les 4 étages de conscience principaux interconnectés et sur lesquels nous pouvons agir pour une vie harmonieuse :

  • Le cerveau gauche : le siège du conscient,
  • Le cerveau droit : le siège de l’inconscient ou du subconscient,
  • La conscience supérieure,
  • La conscience cosmique.

open mind

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Le cerveau gauche : siège du conscient.

Il représente 10% du volume du cerveau et ne fonctionne que lorsque nous sommes éveillés (conscients).

C’est notre conscient qui est en contact direct avec le monde extérieur et qui, à l’aide de nos cinq sens, filtre, analyse, juge, puis informe et donne même des ordres au subconscient, qui lui enregistre toutes les informations sans se préoccuper de leur exactitude ou de leur aspect positif ou négatif. Il enregistre tout comme un robot !

L’information entre le conscient et le subconscient passe dans les deux sens.

Notre subconscient, après avoir stocké les informations, va les restituer à notre conscient sans crier gare, sous forme d’impulsions, autrement dit d’habitudes positives ou négatives. D’où l’importance, pour chacun d’entre nous, de bien prendre conscience que :

  • soit nous contrôlons notre subconscient (par l’intermédiaire de nos pensées),
  • soit c’est lui qui nous contrôle (avec tous les risques que cela comporte).

subconscientVous avez le choix en permanence entre trois actions possibles :

  • semer volontairement des pensées positives…
  • laissez vos pensées vagabonder au gré des vents extérieurs…
  • semer volontairement des pensées négatives ou néfastes…

Et ça, c’est à vous et à vous seul d’en décider ! Personne d’autre que vous ne peut en décider à votre place. Maintenant que vous savez, vous n’avez donc plus d’excuses et vous pouvez choisir et agir en toute connaissance de cause.

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Le cerveau droit : Siège de l’inconscient ou du subconscient.

Il représente 90% du volume de notre cerveau !

Contrairement au conscient, il fonctionne en permanence, 24h sur 24. C’est lui qui, entre autre, permet à nos organes vitaux tels que notre cœur, nos poumons, notre foie, notre estomac, nos intestins, de fonctionner en permanence sans que nous ayons besoin d’en être conscients, notamment pendant notre sommeil.

Autre particularité importante : c’est ce que nous appelons notre mental. Il enregistre tout comme un robot et particulièrement les résultats des analyses effectuées par notre conscient, mais sans jamais chercher à vérifier quoi que ce soit. Il n’en a d’ailleurs pas les moyens, car là n’est pas son rôle.

Mais, là où ça devient très important, voir dangereux, c’est qu’il nous restitue le tout vers le conscient sans crier gare ! Le bon comme le mauvais, puisqu’il n’a rien vérifié. Et c’est là que se situe la cause, l’origine, de toutes nos habitudes, bonnes ou mauvaises. D’où la très grande importance de nos schémas mentaux, dont nous parlions précédemment, dans notre vie quotidienne !

iceberg immergéNotre subconscient est très influençable et particulièrement sensible aux émotions, positives ou négatives. Il est également le siège de nos impulsions, c’est-à-dire de nos instincts.

Il ne faut donc jamais se fier à une impulsion et à plus forte raison, la confondre avec une « intuition » qui elle, est une communication juste à 100%, puisque émise par la Conscience Supérieure.

Oui mais, comment les distinguer l’une de l’autre ? un seul moyen : élever sa conscience vers la Conscience Supérieure (chapitre suivant).

Plus techniquement, le subconscient (mental) sert de lien entre le monde visible et le monde invisible. C’est le point de passage obligatoire des informations fournies par notre Conscience Supérieure en direction de notre Conscient, afin qu’il puisse les exprimer par l’intermédiaire de notre corps physique.

Encore faut-il que nous acceptions, que nous lui permettions de se mettre à l’écoute. C’est-à-dire, que nous ouvrions toutes grandes les portes de notre subconscient aux intuitions, qui n’attendent que cela pour pénétrer et éclairer notre mental d’informations et d’énergies positives. Sinon, adieu l’élévation de la conscience.

C’est comme pour l’ordinateur, les logiciels existent, encore faut-il accepter de s’en servir.

En ce qui nous concerne, c’est bien d’une démarche d’humilité dont il s’agit. Car nous les humains, nous devons enfin accepter, quelles que soient nos apparences, que nous ne sommes ni les plus beaux, ni les plus forts, ni les plus intelligents. Autrement dit, nous devons à tout prix faire taire notre égo, qui a toujours tendance à nous faire jouer à « la grenouille qui veut devenir plus grosse que le bœuf « .

Car, si par orgueil, nous refusons d’écouter nos intuitions, si nous verrouillons les portes de notre subconscient, si nous empêchons l’information positive de nous atteindre, il est tout à fait évident que nous ne percevrons jamais rien. Nul n’est plus sourd que celui qui ne veut pas entendre. C’est bien connu.

Cependant, nous sommes libres, vous êtes libres, totalement libres. C’est à vous et uniquement à vous de prendre la décision d’accepter tout ceci comme vrai ou de le rejeter. De mettre ou non en pratique toutes les possibilités qui vous sont offertes en permanence. Personne ne peut et ne pourra jamais le faire à votre place.

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La Conscience Supérieure

Mind PowerLa conscience supérieure, que certains appellent le « Sur-Moi », représente notre troisième étage de conscience qu’il ne faut surtout pas confondre avec notre mental. En effet, il y a malheureusement trop souvent confusion entre les deux.

D’où l’affirmation de nombreux scientifiques qui proclament que « nous n’employons à l’heure actuelle qu’environ 5% de nos facultés mentales ». Vous vous rendez compte ? cela veut dire qu’en employant simplement 5% de + de nos facultés mentales, de façon positive bien entendu, nous doublerions nos possibilités de réalisations ! Mais également qu’il resterait encore 90% de nos possibilités inexploitées !

Le 3ème niveau, la conscience supérieure, siège de l’esprit humain ou intellect, fait partie de ce que l’on appelle le monde intérieur, le subtil, l’invisible. C’est également un poste émetteur/récepteur, mais fonctionnant d’une façon différente des deux premiers :

  • soit en récepteur sur une fréquence très élevée, afin de pouvoir capter les ondes émises par la Conscience Cosmique,
  • soit en émetteur sur une fréquence beaucoup plus basse, afin de pouvoir être capté par le subconscient.

Elle est par le fait, garantie à 100% contre toute pollution pouvant être émise via le subconscient. En effet, elle ne peut qu’émettre dans cette direction par le canal de l’intuition (qui est forcément bonne (sinon c’est une impulsion, qui peut être saboteuse)).

A ce niveau élevé, la frontière entre ces deux étages de conscience (Cosmique et Supérieure) est très subtile, c’est une espèce de flou artistique, plus ou moins marqué, suivant l’élévation de conscience du sujet.

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La Conscience Cosmique

Dès l’instant où nous acceptons de nous mettre à l’écoute, nous ouvrons toutes grandes les portes de la connaissance de l’Esprit Universel. A l’heure actuelle, nous ne connaissons pas le milliardième des possibilités que l’Esprit Universel nous offre en permanence. Et quand je dis le milliardième, je limite encore ce qui en fait est illimité.

L’Esprit Universel correspond bien entendu à un niveau très très supérieur, à l’Ingénieur en chef qui a créé l’ensemble (ordinateur – disque dur – logiciel), c’est le génie à l’état pur…
· la puissance cosmique…
· l’Amour sans borne…
· l’harmonie absolue…
· la joie parfaite… etc…

Peu importe la représentation que vous vous en faîtes, chacun est libre de choisir le symbole et le nom qui lui convient le mieux en fonction de ses croyances (Dieu – Allah – Bouddha – Jéhovah – Yahvé – Jésus – Rama – Krishna…), peu importe le Nom, puisqu’il désigne la même et unique « Divinité ».

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Nourrir les étages de conscience

Maintenant que nous avons pris conscience du mode de fonctionnement de l’Univers Cosmique, nous allons pouvoir, à l’aide de notre pensée consciente, donner l’ordre à notre subconscient, de se mettre à l’écoute de notre conscience supérieure, qui capte les messages intuitifs éminemment positifs émis par cette dernière.

Que se passe-t-il alors ? notre subconscient enregistre les messages d’harmonie émis par notre conscience supérieure. Messages d’harmonie qu’il va ensuite transmettre à notre conscient, qui va à son tour les diffuser dans le monde extérieur (le visible) en transformant ces pensées positives en actes positifs autour de nous.

Puis par simple phénomène d’interaction, ces pensées/actions positives vont se multiplier dans le monde matériel visible, favorisant ainsi une plus grande fluidité de l’atmosphère subtile qui nous enveloppe tous (l’Ether). Ce qui va avoir pour effet d’intensifier le phénomène évolutif (positif et harmonieux) de l’humanité tout entière. C’est la spiritualisation de la matière !

Malheureusement, une toute autre utilisation est fréquente.

Soit inconsciemment, victimes des vibrations négatives émises par notre environnement, soit consciemment, nous émettons des messages de pensées négatives d’impossibilités, de peur, de jalousie, de colère, de critiques destructives, etc… en direction de notre subconscient (et du subconscient des autres; tout est lié, interconnecté). Et naturellement, ce dernier enregistre tous les messages négatifs, sans se poser la moindre question et réagit ensuite en fonction de ces messages. C’est-à-dire que dans un premier temps, notre subconscient va s’empresser de verrouiller les portes de communication avec la conscience supérieure ou se concentrer uniquement sur les émotions négatives qu’il reçoit du conscient.

Pensées qu’il va s’empresser de stocker et qu’il redistribuera ultérieurement sous forme d’impulsions, par l’intermédiaire de ce même conscient dans le monde extérieur, provoquant des vibrations négatives, faisant en quelque sorte écran et empêchant de nourrir notre univers matériel qui deviendra ainsi de plus en plus lourd, de plus en plus pesant, de plus en plus négatif et conflictuel.

Bien sûr, ce ne sont que deux hypothèses extrêmes que j’évoque ici et entre ces deux extrêmes, il existe des milliards et des milliards de possibilités. Cependant, il est très important pour nous de bien garder en mémoire la grande loi Cosmique de cause à effet.

« Nous récoltons toujours et uniquement en fonction de ce que nous semons. » Même si ce n’est pas toujours flagrant au premier abord.

Et c’est là l’unique explication de tous les conflits qui secouent périodiquement notre monde. C’est vrai pour une personne, c’est vrai pour un groupe, mais c’est également vrai pour une entreprise, pour une nation, une race, ainsi que pour la planète tout entière qui est actuellement bien malade, du simple fait de notre inconscience humaine.

Souvenez-vous : « L’univers est un tout dans un tout, où tout est interconnecté ».

tout est reliéAucune, je dis bien aucune de nos pensées n’est perdue. Toutes celles qui apparemment restent inutilisées et il y en a des milliards à chaque seconde sur notre planète (autant que d’êtres humains), sont rassemblées dans l’univers éthérique, dans des espèces de grands récipients appelés ‘égrégores’. Là, elles sont stockées séparément. D’une part les pensées-vibrations positives et d’autre part, les négatives. Et, lorsque l’un ou l’autre des égrégores déborde, arrive à saturation, il déverse son trop plein dans le monde de la matière, notre monde.

Ce qui a pour conséquence de parfois, résoudre brusquement et de façon tout à fait inattendue, certains antagonismes (chute du mur de Berlin, par exemple), mais le plus souvent, il faut bien en convenir, de provoquer ou d’amplifier les conflits existants.

Si nous acceptons de subir les influences négatives du monde extérieur, nous avons alors toutes les chances de créer nos propres pensées négatives dans notre conscient. Pensées qui vont bien sûr être enregistrer par notre subconscient, qui va ensuite nous les redistribuer (dans notre conscient), sous forme d’habitudes ou d’actions négatives, provoquant ainsi dans le monde extérieur une amplification des vibrations négatives, façonnant sur nos têtes un véritable couvercle, empêchant de plus en plus la lumière d’éclairer positivement notre monde.

pureté univers

« On devient ce que l’on pense ! » Par conséquent, les gens devraient s’assurer que leurs pensées soient pures et bonnes. La vie humaine est l’expression de nos pensées. Les pensées nées dans le mental remplissent l’atmosphère de vagues d’énergie. Sachez que ces vagues sont très puissantes.

Par conséquent, nos pensées devraient être sublimes et sacrées. Aucune mauvaise idée ne devrait affecter nos pensées. Les mauvaises pensées conduisent inévitablement à de mauvaises actions. Lorsqu’il y a en l’homme des pensées bonnes et aimantes, il se divinise et devient capable d’accomplir des actions bonnes et sacrées.

Ainsi, chaque cœur d’homme devrait être rempli d’Amour, de compassion et de bonté. Il n’y a qu’une seule véritable source de bonheur parfait : «  La recherche permanente de l’harmonie, partout et pour tout ».

Source : pour un monde meilleur.

7 stades de l’évolution spirituelle

Publié . par isala les étoiles

Les sept stades de l’évolution spirituelle individuelle

Au cours de son évolution spirituelle, l’homme traverse sept étapes, chacune d’elle ayant certaines caractéristiques. La connaissance de celles-ci peut nous ouvrir la voie vers les niveaux supérieurs et nous conduire à la perfection.

Premier niveau

Le premier plan est le moins élevé. C’est celui de la conscience instinctive qui est proche de l’animal.

Le premier stade se caractérise par l’ignorance ou l’absence totale de connaissance et même d’information liées à la nature de l’esprit et de la réalité. Généralement parlant, c’est le cas de la plupart des êtres humains de l’époque actuelle, qui se limitent à croire aveuglement seulement à ce qu’ils peuvent percevoir à l’aide des cinq sens ou seulement à la science et la technologie abordées d’une manière mécaniciste.

Le premier niveau d’évolution est relativement rudimentaire au point de vue spirituel, puisque la personne qui s’y trouve est essentiellement matérialiste. Ses principales préoccupations (pour ne pas dire ses seules) sont la satisfaction de ses besoins primaires, l’assouvissement des plaisirs des sens, souvent avec excès (boire, manger, s’accoupler), et l’accumulation de biens. Pour cette personne, la préoccupation spirituelle n’existe tout simplement pas, à moins que celle-ci ne soit perçue comme un instrument pour leurrer ou pour tirer profit des autres. Selon elle, lorsqu’on meurt, c’est fini : on pourrit simplement dans un trou.
On peut comprendre que, dans cette perspective, l’existence de Dieu ou d’un Être suprême n’a que peu d’intérêt ; à quoi pourrait donc servir un dieu si, à la mort, tout est fini ? Ce genre de personne peut être agréable à rencontrer l’espace d’une soirée, à l’occasion d’une partie ou pour un bon repas par exemple. Mais comme le type de relations qu’on peut nouer tourne autour de l’assouvissement des besoins les plus primaires, on ne peut s’attendre à des contacts profonds. Cela dit, même si ces personnes sont menées par leurs émotions et leurs passions, cela ne signifie pas nécessairement qu’elles ne possèdent aucune morale, aucune conscience ; c’est simplement que leur expression est des plus sommaires.

evolution spiritualité.

Deuxième niveau

Le deuxième plan est celui de la conscience collective. A ce niveau la personne développe son sens des relations humaines. Elle est plus sélective dans le choix de ses partenaires, mais plusieurs peuvent lui convenir.

Le deuxième stade est marqué par une sensibilité plus ou moins accentuée aux autres états de conscience, qui peuvent apparaître soit de façon fortuite, soit d’une manière logique, traditionnelle (par exemple la pratique du yoga) ; parfois, l’éveil de l’intérêt pour des aspects spirituels peut se produire grâce au déclenchement de certains processus ineffables de résonance intérieure suite à la lecture d’un texte spirituel authentique, du témoignage d’un grand maître, ou alors via une expérience mystique ou même suite au paroxysme d’une crise existentielle douloureuse; ou encore, en fréquentant systématiquement un groupe d’êtres spirituels ou par l’adoption d’une thérapie efficace, moins conventionnelle, l’être humain peut éveiller progressivement des forces subtiles bénéfiques auparavant insoupçonnées..

Le deuxième niveau s’apparente au premier sous de nombreux aspects ; l’acquisition de biens matériels reste une motivation importante, voire la pierre angulaire de la vie, tout comme, d’ailleurs, l’assouvissement des plaisirs des sens.
Les personnes qui s’y positionnent ont souvent tendance à croire que la valeur des gens est proportionnelle aux biens qu’ils possèdent. En revanche, dans la majorité des cas, les personnes qui se situent à ce deuxième niveau d’évolution (ou de conscience) croient en l’existence d’un Être suprême, mais trop souvent encore, elles ont tendance à créer un Dieu qui sert leurs intérêts.
L’un n’allant pas sans l’autre, on comprend dès lors que leur spiritualité est aussi rudimentaire que l’image qu’elles se font de leur Dieu. En un certain sens, on pourrait dire que ces personnes ont tendance à croire en Dieu, au cas où celui-ci existerait : pourquoi courir des risques ? N’est-il pas plus prudent de couvrir ses arrières ? Lorsqu’il leur arrive de s’attarder à de tels concepts – Dieu, la spiritualité, la vie, la mort, etc. – elles sont vite dépassées. Il s’agit de l’archétype de l’être qui est conscient de sa mortalité et s’en inquiète juste assez… pour croire en Dieu (on pourrait d’ailleurs ajouter, ici, qu’il le fait en espérant que c’est bien ce qu’il doit faire !). Sa conscience spirituelle n’est pas vraiment un sujet dont il se préoccupe vraiment ; il a la conviction que la spiritualité est l’affaire des autres et ne le concerne pas vraiment.
Par contre, ces individus adoptent ou tentent d’adopter une ligne de conduite non dénuée de principes. Ils ont une conscience morale plus développée que les personnes du premier niveau. J’ajouterai aussi que lorsqu’ils adoptent une religion, c’est celle de leurs parents, celle dans laquelle ils ont été élevés ; toutefois, il arrive qu’ils s’ouvrent à d’autres spiritualités.

Troisième niveau

Le troisième plan est celui du mental. Là, l’individu situe son JE. Il commence a s’individualiser. C’est le plan du pouvoir personnel, de l’énergie, des idéologies (religieux, politiques, économiques). C’est le plan des leader. Il fonctionne selon la dualité du mental (amour-haine, dominant-dominé etc).

Le troisième stade marque la recherche pleine d’aspiration de certaines méthodes efficaces d’éveil, d’une voie spirituelle authentique. Ce stade est caractérisé le plus souvent par une recherche fébrile et souvent livresque. Nous ne pensons alors plus qu’à ce sujet, et quelque chose à l’intérieur nous dit parfois que nous nous approchons de la vérité, cet aspect nous étant ultérieurement confirmé par les lectures. C’est le moment où nous commençons à chercher avec ardeur un maître et parfois nous nous lançons vers ce qu’un grand yogi a nommé « un cocktail spirituel”, c’est-à-dire une combinaison de postures corporelles, de thérapies, de lectures « ésotériques”, plus ou moins mêlées à des techniques de méditations, arts martiaux ou pratiques genre tai-chi, passes biomagnétiques, etc. Il existe certaines personnes qui malheureusement restent définitivement cantonnées à ce stade et qui croient avec la force du semi-docte qu’elles ont trouvé la voie. De cette catégorie ne manquent pas ceux qui, après la première expérience spirituelle, se considérant complètement illuminés, s’y arrêtent. D’autres rencontrent au bout de ce périple la vraie voie et le maître spirituel. C’est seulement alors que commence pour eux la vraie aventure spirituelle.

À ce niveau, on rencontre des gens qui accordent encore une importance certaine à l’aspect matériel de l’existence, mais tout en croyant sincèrement en l’existence de Dieu. Ils ont découvert (ou entrevu) la relation qui existe entre Dieu et le reste de l’Univers.
On peut affirmer que la majorité des gens se situent à ce niveau d’évolution ou de conscience. Tirant toujours satisfaction et plaisir de l’acquisition de biens et de l’assouvissement des sens, bien qu’à un degré moindre que ceux des précédents niveaux, ils ne considèrent pas ces deux aspects comme une finalité en soi, comme l’objectif fondamental de leur existence. Ce qui est néanmoins paradoxal, c’est que leur niveau de spiritualité dodeline selon leurs intérêts du moment ; ils sont tour à tour profondément pieux ou totalement absorbés par le gain.
Ils adhèrent généralement à une religion quelconque et acceptent sans discussion la philosophie de celle-ci, ses dogmes et son code de bonne conduite. Ils comprennent le concept d’un Être supérieur car, pour eux, l’au-delà existe vraiment, bien que sa forme dépende essentiellement de la religion qu’ils pratiquent ou de la philosophie à laquelle ils adhèrent.
Parfois, ces gens font preuve d’une certaine curiosité intellectuelle face à la spiritualité et ils se posent même certaines questions. Ils font malheureusement preuve de peu d’imagination et l’emprise que le monde matériel exerce toujours sur eux les empêche d’explorer la spiritualité à l’extérieur des limites imposées par leur pratique personnelle, voire leur religion.
Idéalement, ils aimeraient profiter sans gêne et sans remord des bons côtés du matérialisme et, en même temps, approfondir et vivre une spiritualité satisfaisante mais sans faire d’efforts… Ils sont pour le pour et contre le contre, si l’on peut s’exprimer ainsi!

Evolution spirituelle

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Quatrième niveau

Le quatrième plan est causal. C’est le plan où nous pouvons nous connecter à notre âme. A ce niveau, nous pénétrons dans la partie de l’âme, celle de l’amour (l’amour spirituel). A ce niveau, nous pouvons vivre l’amour avec une âme-soeur.

Le quatrième stade se caractérise par le suivi persévérant et plein d’aspiration d’une voie spirituelle authentique. A ce stade, l’être humain découvre souvent progressivement toutes les barrières qui l’empêchent à accéder à la vraie connaissance et apprend petit à petit à dissoudre tous ces obstacles. Les méthodes spécifiques qui sont utilisées ici varient selon la voie choisie. Elles peuvent changer à un moment donné, selon l’évolution spirituelle personnelle et en conformité avec certaines conditions individuelles. Pourtant, si l’être humain en question envisage d’atteindre le stade spirituel ultime, il ne doit jamais arrêter la pratique spirituelle. Elle s’etendra progressivement à toute son existence quotidienne. Ce stade se prolonge et demeure pratiquement inchangé également au cours des étapes suivantes.

Le quatrième niveau marque le début de la spiritualité dans le vrai sens du terme. Les personnes qui atteignent ce niveau ne sont plus réellement préoccupées par l’accumulation de biens ; elles n’ont plus besoin de ce genre de preuve pour justifier leur existence. Elles apprécient certes les plaisirs des sens, sans toutefois se laisser dominer ou contrôler par leurs émotions ou leurs passions. Surtout, elles saisissent leur nature dans sa globalité et sont conscientes du lieu qui existe entre le physique, l’intellect, les émotions et la spiritualité.
Elles sont adultes dans le sens le plus noble du terme, parce qu’elles assument leurs responsabilités en ce qui touche leurs pensées, leurs sentiments et leurs actions. Il leur arrive fréquemment de peut-être trop intellectualiser leur processus de raisonnement mais, comme elles parviennent à décrypter leur intuition, cela équilibre en quelque sorte la balance. Elles ont conscience ou elles prennent conscience du reste de l’univers et de leur influence sur celui-ci. Ces personnes commencent aussi, habituellement, à chercher l’Etre suprême à travers différents textes sacrés, faisant fi de la confession de laquelle ils relèvent.
Cela marque en quelque sorte le début de l’universalité de la conscience. Les personnes arrivées à ce point de leur évolution ne se soucient plus des différences de religions. Elles ont conscience de la valeur spirituelle de chacun, sans sectarisme. Elles commencent aussi à s’intéresser au monde de l’invisible et, souvent, à communiquer avec les entités qui y vivent.

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Cinquième niveau

Le cinquième plan est celui de la super-conscience. L’amour est manifesté et exprimé pleinement. C’est celui de la pensée symbolique. A ce niveau on peut se passer de sexualité. C’est le niveau des grands comme Beethoven, De Vinci, Pythagore etc… La(e) seul(e) partenaire possible est son âme-jumelle, son complément, son miroir.


Le cinquième stade se caractérise par la stabilisation émotionnelle et la paix profonde intérieure. Au fur et à mesure que les obstacles se dissolvent et sont complètement éloignés du chemin de notre conscience, ce qui correspond ici à l’identification et au contrôle de l’origine intime des sentiments et de nos émotions destructives, l’agitation mentale des pensées diminue et une paix profonde et euphorique s’installe en nous. C’est une condition absolument nécessaire à ce qui suivra, bien qu’il existe des voies spirituelles qui profitent de tous les conflits qui apparaissent dans l’être humain, les utilisant comme des modalités directes et immédiates d’atteindre la transcendance. Ce stade est en général accompagné par une compréhension juste et profonde, tant de la nature du réel, que du mental. L’être humain en question aspire maintenant avec force à ce que cette paix euphorique englobe le monde entier. A ce stade, la capacité d’aimer est beaucoup amplifiée.

À ce niveau, les personnes sont dotées d’une sensibilité très aiguisée et elles perçoivent l’univers comme un tout. Pour elles, c’est quelque chose qui ne se discute pas, ça existe et c’est ainsi. Elles ne dédaignent pas tout ce qui concerne le matérialisme, mais, en revanche, l’accumulation de biens n’est plus une priorité. Si elles sont bien nanties, c’est sans se préoccuper de ce qu’elles amassent, mais, plutôt, parce qu’elles aiment ce qu’elles font et que cela leur vaut de connaître le succès.
Ces personnes ont atteint un niveau où leur intuition joue un rôle important ; elles arrivent d’ailleurs à développer assez rapidement et assez facilement leurs dons psychiques et s’en servent volontiers, principalement pour aider les autres. Elles communiquent aussi aisément avec leurs guides spirituels et ont pleinement conscience de leurs actions et des effets de celles-ci sur leur évolution. Elles pratiquent généralement plusieurs techniques, comme la méditation, et possèdent une très grande ouverture d’esprit qui leur permet de comprendre et d’aider les autres. Ces personnes s’appliquent de façon diligente à se débarrasser de leurs préjugés. Conscientes des lois gouvernant notre Univers, elles tentent de les respecter le mieux possible.

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Sixième niveau

Le sixième plan est celui de la conscience intuitive de l’âme. A ce niveau l’être n’a plus d’égo, il n’est plus qu’une âme rayonnant d’amour et de lumière. Il est un message vivant de l’harmonie universelle.

Le sixième stade se réfère à l’atteinte de la non-dualité. Jusqu’à ce stade, l’être humain a été souvent le théâtre de déroulement de nombreux phénomènes,au sens grec du terme, qui désigne les „apparences” illusoires, telles les visions de forme et de lumière, l’audition intérieure de sons, la perception de certaines vibrations subtiles énergétiques qui donnent ensuite naissance à des manifestations parapsychologiques, des régressions dans les vies antérieures personnelles ou dans celles des autres êtres humains qui entrent en contact avec lui etc. Un maître spirituel compétent l’aidera à comprendre que presque tous ces phénomènes sont aussi illusoires que le rêve ou que l’univers physique habituel. Dans toutes ces expériences, existe encore, belle et bien vivante, l’illusion de la séparation entre le sujet et l’objet de sa perception, avec quelquefois même le risque du renforcement de la perpétuation de cette illusion de la séparation. La dissolution complète de ce fantasme conduit progressivement à l’apparition d’un état holistique a-conceptuel et ineffable. Du stade initial de non-connaissance dualiste, nous passons maintenant à la vraie Connaissance Divine, à l’état de présence impersonnelle et ineffable. Du stade initial d’ignorance dualiste, nous passons maintenant à la vraie Connaissance Divine, à l’état de présence impersonnelle où nous réalisons, pleins de surprise, qu’il n’existe plus personne d‘autre qui connaisse… L’amour envers tous les êtres humains devient alors la Lumière Divine et nous se révèle comme étant ce qu’elle a été en réalité, depuis toujours, dès le début sans début…

Arrivé à ce niveau, l’individu fusionne en quelque sorte ses sens et sa spiritualité. D’une certaine façon, le plaisir que lui procurent ses sens constitue une nouvelle manière de se réjouir de l’existence, voire de prier – le mot pris dans son sens le plus large et le plus noble. Cette personne s’est pratiquement libérée de ses passions ; ses émotions ne la dominent plus. Parallèlement, elle ne reconnaît plus les frontières des hommes et sa pensée devient universelle ; elle fait partie de la race humaine et ne voit plus les distinctions entre les races ; elle s’est complètement libérée des préjugés.
Cette personne communique aisément avec les entités de l’au-delà, ainsi qu’avec son Moi supérieur ; elle connaît les raisons pour lesquelles elle s’est incarnée dans cette existence et comprend les leçons qu’elle est venue apprendre. H lui arrive de développer et de maîtriser ses facultés psychiques. Lorsqu’elle le fait, elle les met au service des autres ;
elle peut d’ailleurs guider ceux et celles qui ont besoin d’elle, sans pour autant juger ou interférer dans leur évolution personnelle.
Elle est pleinement consciente de son évolution et du niveau de conscience qu’elle a atteint, et elle met en pratique les principes fondamentaux de l’Univers, incarnant du coup ce qu’il y a de mieux chez les hommes.
Cette personne reste consciente de ce qu’elle est et de ce que la société est ; elle a également conscience des contraintes matérielles, mais elle assume tous ces aspects avec sérénité.

Septième niveau

Le septième plan est celui du divin, de la conscience cosmique. Le corps s’embrase, le feu monte dans les canaux ethériques et l’énergie divine nous transforme en ETRE DE LUMIERE. Nous tombons dans la conscience cosmique et l’illumination, et nous y restons pour l’éternité.

Le septième stade est celui de la libération spirituelle. Alors que dans le stade précédent la nature du réel était perçue sous la forme d’éclairs illuminateurs profonds, ici, la présence de Dieu ou la vraie Connaissance est définitivement installée et demeure constante, ne pouvant plus jamais être perdue. La dichotomie relatif-absolu est maintenant dépassée. Il n’existe plus des concepts et des conditionnements, mais seulement un Espace Suprême – Lumière, incommensurable et irradiant. En même temps nous découvrons avec surprise que l’amour océanique et la Connaissance qui englobe tout traversent ce corps sans être limités par celui-ci. Nous nous rendons compte seulement alors qu’il s’agissait d’un état primordial qui a existé dans notre être depuis toujours, mais qui a été caché en permanence par notre ignorance antérieure. Nous réalisons maintenant que le voile s’est complètement dissout.

Il s’agit du niveau le plus élevé de l’évolution humaine. La personne qui y accède a totalement réussi à occulter ses sens pour ne devenir qu’un être spirituel ; cette personne se situe ni plus ni moins entre notre réalité terrestre et Dieu. n n’est plus question, pour elle, de se plier aux lois divines puisqu’elles font littéralement partie de son être, de sa nature intrinsèque. Cet individu est ce qu’on appelle communément un maître un initié, qui a réussi la parfaite harmonisation entre le corps, l’âme et l’esprit, et cela lui permet d’exister tant dans l’au-delà que sur terre, car il est en constante communion avec l’univers. Soulignons toutefois que c’est un état aussi rarissime qu’exceptionnel. C’est le niveau où l’âme n’a plus besoin de s’incarner et peut continuer le voyage vers d’autres horizons inconnus pour le commun des mortels.
Comme vous pouvez le constater, les niveaux d’évolution spirituelle ne sont pas très nombreux, mais on peut affirmer qu’il existe une grande différence entre le premier et le septième niveau.

★ Néanmoins, il ne faudrait pas croire qu’une personne qui se situe au premier niveau a moins de valeur ou est moins bonne qu’une autre qui a atteint le septième niveau ; il ne s’agit pas de valeur, mais bien d’expérience – car chaque niveau nous place face aux leçons que nous devons apprendre afin de continuer notre évolution.

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spiritualité

★ Tous ces préliminaires nous amènent maintenant à aborder le concept des niveaux d’évolution spirituelle, aussi appelés « niveaux de conscience ». Il ne s’agit pas, ici, d’un outil de notation ou d’évaluation, d’autant plus que ce niveau d’évolution spirituelle est changeant. Il serait donc à la fois puéril et vain de chercher à se servir de cette grille pour juger la valeur des gens. Chacun possède le niveau qui correspond aux expériences qu’il doit vivre pour continuer à apprendre, à cheminer, à évoluer.
Vous pouvez atteindre les niveaux les plus élevés, mais, à mesure que vous progresserez, il sera parfois nécessaire d’expérimenter des niveaux inférieurs afin de pouvoir tirer une leçon qui vous permettra de mieux comprendre non seulement ce que vous vivez, mais aussi ce que vivent ceux qui vous entourent.
En ce sens, il faut bien comprendre qu’un niveau n’est pas meilleur qu’un autre, il est simplement différent ; il reflète la position subjective de l’âme au moment présent. Le niveau spirituel d’une personne vous permet de jauger le genre d’interaction que vous pouvez ou pourriez avoir avec celle-ci. Par exemple, il est inutile de discuter de spiritualité et de méditation avec un individu dont la conscience se situe au premier niveau, tout simplement parce qu’il s’agit là d’un sujet qui ne l’intéresse pas. De la même façon, vous perdez votre temps à décrire votre nouvelle maison à une personne dont la conscience est au septième niveau, car celle-ci est détachée du monde matériel.
Lorsqu’on commence à pratiquer la méditation, il est évident que notre niveau d’évolution spirituelle change , ce niveau de conscience n’est pas fixe, il peut se transformer très rapidement ou rester stagnant. Dans certains cas, il peut même arriver que notre évolution se fasse en quelque sorte à l’envers et qu’au lieu de progresser, nous régressions pour retravailler des choses.
Toutefois, à mesure qu’on se familiarise avec le principe de la méditation et sa pratique, il devient très difficile de résister à l’évolution de sa conscience, à l’éveil de sa spiritualité. Certaines formes de méditation favorisent une évolution rapide, alors que d’autres se contentent de nous faire progresser tout doucement. Par conséquent, c’est à chacun de faire ses choix.

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Source : alliancespirite.org si je ne me trompe (j’ai mal noté ma source, désolée pour cette fois)

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